Il semblerait que ce soit tout ce qui me distingue de l'animal.
Je m'encombre de pensées, de réflexes, de préceptes, de sentiments et de besoins sans qui mon humanité ne pourrait se définir.
La complexité dans cette conscience, c'est le déni de mes propres faiblesses, la maitrise de mes pulsions pour trouver dans chacun des miroirs ce que mon âme aimerait y voir.
Eradiquer le superflu ?
Serait-ce m'y perdre finalement ?
1 commentaire:
???
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