Grâce à ma soif inépanchable de culture informatique, j'ai appris un nouveau vocable aujourd'hui, par hasard.
Il était caché dans les lignes du texte suivant :
"Quand vous aurez fini votre travail sur une image vous voudrez sauvegarder le résultat (en fait, c'est une bonne habitude de sauvegarder durant les étapes intermédiaires : XXX est un programme plutôt robuste, mais nous avons entendu des rumeurs, sans doute apocryphes, qu'il lui serait arrivé, dans de rares et mystérieuses occasions, de planter). La plupart des formats de fichier que XXX sait ouvrir peuvent être utilisés pour l'enregistrement. L'un d'eux est spécial : XCF est le format natif de XXX, et il est très utile puisqu'il sauvegarde tout d'une image (enfin, presque tout, les informations d'annulation ne sont pas enregistrées). Ainsi, le format XCF est parfait pour enregistrer les résultats intermédiaires, et pour enregistrer des images destinées à être réouvertes par le XXX. Le format XCF n'étant pas exploité par la plupart des autres programmes qui affichent des images, vous voudrez probablement enregistrer vos images dans un format plus répandu, comme JPEG, PNG, TIFF, etc."
Alors, l'informatique et la littérature se seraient elles réconciliées ?
1 commentaire:
Doit on en deduire que rien n'est sur?
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