Journée de travail terminée.
Compagnons à quatre pattes choyés,
Lutin embrassé, nourri, baigné, bordé.
Et le vide immense qui s'installe.
J abhorre ce sentiment de vide absolu, ce vertige,
cette interminable chute dont je ne discerne jamais le fond.
Savourer le quotidien tel qu'il se présente,
Vivre des moments de joie simple ;
aimer, adorer, caresser, élever...
Tendre à l'amélioration de soi, donner, préserver, construire,
La conscience, de toute ses forces, contingente mes aspirations à la quiétude.
Qu'il me plairait me satisfaire de cette bulle de petit bonheur,
Qu'ai-je appris de la compassion qui m'ait laissé impassible ?
L'autre est, mais l'autre n'est pas.
2 commentaires:
Moi pas tout comprendre... mais l'essentiel sûrement.
Bisous
Y'a pas possibilité de ne pas faire apparaître ce type de commentaires qui donnent la gerbe ?
Purée Sophie, fais quelque chose !
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